SOYONS FIERS D'APPARTENIR A LA PERIODE 1950-1980: PÉRIODE EXCEPTIONELLE AVEC DE MERVEILLEUX SOUVENIRS.

Nous, les personnes nées entre 1950-1980 dans les pays AFRICAINS, sommes bienheureux et géniaux.
Notre vie en est une preuve vivante.
Cette génération  faisait du vélo loué sans jamais prendre la peine de porter des casques.

 Tous les jeux étaient pratiqués: jouer les marbres, monter dans les arbres, se baigner dans un marigot, faire du marrodage, sauter les cordes, faire du Jacques où es-tu, faire du à-saute-moutons, jouer à- cache-cache sous les applaudissements des camarades etc.

Après les classes, nous  jouions jusqu'à la tombée de la nuit, mais jamais nous ne regardions  de télévision nous enfermant dans une chambre.

Nous  jouions seulement avec nos amis, de vrais amis, pas avec les amis virtuels www.com.

Si jamais nous avions soif, nous buvions de l'eau du marigot, de la rivière, de la pluie et rarement du robinet. Il n'existait pas de l'eau en bouteille.

Nous n'avions jamais eu mal et n'étions jamais malade pour ce faire.

Du lundi au dimanche, nous mangions les mêmes aliments sans en être malades. Le riz était  exceptionnellement un repas réservé aux jours de fête.

Nous mangions bien n'importe où. La nourriture était partagé avec les enfants du quartier sans aucun souci.

Nous ne ressentions aucune douleur dans les pieds même après  un match avec un  ballon en chiffons joué pieds nous.
Jamais de comprimés ou de suppléments de santé pour nous maintenir en bonne santé.

Nous fabriquions nous mêmes nos jouets avec des cartons vides et du bambou.

Nous comprenions nos parents qui n'étaient pas riches. Ils étaient modestes et ne poursuivaient pas l'argent par tous les moyens.

Nous n'utilisons ni émoticones pour exprimer nos émotions, ni  téléphones mobiles, ni Android, ni DVD, ni stations de lecture, ni X-Box, ni jeux vidéo, ni ordinateurs personnels, ni Internet, ni discussions sur le Web, mais nous avions beaucoup des amis très sympathiques.

Nous visitions nos amis sans préavis sans avoir à les appeler avant. Nous n'avions nullement besoin d'aucune permission de leurs parents pour leur rendre visite et quand nous étions chez un ami nous apprécions avec eux leur nourriture.

L'amour, la fraternité, le partage, la solidarité, le civisme, la morale étaient effectifs et nous étions heureux.
Chacun se comportait convenablement parce le voisin pouvait corriger l'enfant de l'autre sans représailles.

Nos photos en noir et blanc sont pleins de souvenirs vivaces et colorés.

Oui nous sommes une génération unique, compréhensive, la dernière génération qui a su écouter les parents, mais nous sommes également les premiers qui avons à écouter les enfants.

Nous qui avons parcouru des kilomètres pieds nus pour aller à l'école, portant sacs sur la tête, c'est nous pourtant  qui transportons (matin, midi, soir), nos enfants à l'école dans nos voitures climatisées nous mêmes ou par nos chauffeurs .

Dernière génération à profiter de l'enseignement public gratuit, nous sommes là premier à payer chèrement pour former les enfants dans les écoles privées.

Malgré l'immensité des devoirs de maison, nous trouvions le temps d'aider nos parents dans les tâches domestiques, au champ, au marché... mais de nos jours, nous assistons nos enfants dans leurs devoirs de classe et en retour, ils se refusent de soutenir, d'aider les parents ou les femmes de ménage dans les tâches domestiques.

Soyons fiers d'appartenir à cette noble génération même si malheureusement, nous sommes tout simplement une
ÉDITION LIMITÉE ET UNE ESPÈCE EN VOIE DE DISPARITION .