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samedi 14 septembre 2019

LES SIX FACETTES DU PROBLÈME ANGLOPHONE

Par *DAVID ABOUEM A TCHOYI,  ancien gouverneur du Nord-Ouest et du Sud-Ouest*

Six facettes me viennent à l’esprit:
1- La critique de l’Etat centralisé.
2- Le transfert des centres de décision de Yaoundé, loin des populations et de leurs problèmes.
3- Le non-respect des engagements relatifs à la prise en compte, de manière équitable, des cultures et traditions institutionnelles, juridiques, administratives…héritées des anciennes puissances administrantes.
4- Le non-respect des promesses solennelles faites pendant la campagne référendaire.
5- Le changement du nom de l’Etat : remplacement de « la République Unie du Cameroun » par « la République du Cameroun ».
6- Le non-respect du bilinguisme dans le secteur public, bien que la Constitution fasse du français et de l’anglais deux langues officielles d’égale valeur.
Je vais passer en revue, de manière cursive, ces différentes facettes.

1) *Critique de l’Etat centralisé*

Pour avoir été dépouillées des importantes compétences qu’exerçait, en toute autonomie, l’Etat du Cameroun occidental, nombre de compatriotes de cette partie du territoire ont développé un profond sentiment de nostalgie, de malaise, de frustration et d’inconfort. Ce sentiment s’est accentué au fil des années qui ont suivi l’avènement de l’Etat Unitaire. Ce n’est point la simple nostalgie d’une époque de rêve plus ou moins révolue. C’est la comparaison entre la qualité de la gouvernance publique pratiquée depuis 1972 et celle qui fut en honneur dans l’Etat fédéré du Cameroun occidental qui conduit, systématiquement, un grand nombre d’acteurs à pourfendre la première et à regretter la deuxième, dont plusieurs souhaitent le rétablissement. Ce sentiment est réel même chez ceux qui n’ont pas connu le self-government du Cameroun occidental en tant qu’Etat fédéré.
On peut gloser à l’infini sur les conclusions de la Conférence de Foumban de juillet 1961. Il est juste de reconnaître qu’elle a accordé des pouvoirs très importants aux Etats fédérés, sur une liste de matières tout aussi importantes qu’ils étaient appelés à gérer en toute autonomie.

Les Etats fédérés disposaient de compétences larges et exclusives sur des matières importantes telles que l’Intérieur, l’Administration Pénitentiaire, la Décentralisation, le Développement rural et communautaire, l’Agriculture, l’Elevage, les pêches, les Travaux Publics, les Coopératives, l’Enseignement primaire et maternel, l’Energie et l’eau, les domaines et le Cadastre, la Gestion de ressources naturelles, les finances fédérées, etc. Chaque Etat fédéré disposait de sa fonction publique qu’elle gérait souverainement. Celle du Cameroun Occidental était gérée avec l’aide de la « Public Service Commission », sorte de Conseil supérieur de la fonction publique, chargée de veiller à l’objectivité des nominations et promotions ainsi qu’au respect des principes déontologiques dans la gestion des carrières.

La gestion de ressources naturelles par les futurs Etats fédérés était d’une sensibilité particulière en juillet 1961. Dans des entretiens séparés, J.N. Foncha, S.T. Muna et A.N. Jua m’ont affirmé qu’elle avait fait l’objet d’âpres discussions avec la délégation de la République du Cameroun à Foumban, puis en aparté avec le président Ahidjo. Ils ne voulaient pas que d’éventuels accords précédemment signés avec la France puissent s’appliquer à l’Etat fédéré du Cameroun occidental. Selon eux, c’est également dans la perspective du partage des revenus provenant de l’exploitation de certaines ressources naturelles (mines et hydrocarbures notamment) qu’ils ont exigé et obtenu que le chiffre de la population de chaque Etat fédéré soit clairement mentionné dans le texte de la Constitution fédérale du 1er Septembre 1961.

Le Cameroun a été considéré comme une curiosité sur le plan constitutionnel, avec un régime présidentiel fort et sans contrepoids au niveau fédéral, mais un régime parlementaire classique au niveau des Etats fédérés.

Au Cameroun oriental, le parlementarisme classique n’a pas pu fonctionner malgré les dispositions de la Constitution de cet Etat, à cause de l’unification des partis politiques et du fait que le président Ahidjo a continué d’ exercer une influence quotidienne sur la gestion des affaires publiques dans cette partie du territoire qu’il dirigeait déjà comme président de la République avant la Réunification. On se rappelle la lettre de démission d’un ancien Premier Ministre du Cameroun Oriental, Vincent de Paul Ahanda, dans laquelle il laissait entendre que le président Ahidjo ne le laissait pas assumer ses responsabilités.

Mais au Cameroun Occidental, la démocratie parlementaire s’exerçait pleinement, dans le respect de la Constitution de cet Etat. Les élections étaient organisées par une commission électorale indépendante créée par une loi fédérale de novembre 1961, la toute première dans un pays ayant le français en partage. Par sa composition, le mode de désignation de ses membres et ses règles de fonctionnement, elle était réellement indépendante de l’Exécutif et du Législatif. Son Président, Justice Asonganyi me l’a confirmé au cours d’un entretien à Bamenda.

Le gouvernement devait être investi par le parlement avant qu’il n’entre en fonction et il était responsable devant celui-ci. Le parlement, composé de deux chambres –House of Assembly et House of Chiefs- était jaloux de ses prérogatives. Le président Ahidjo lui-même, malgré toute l’autorité qu’il avait, s’en est rendu compte à plusieurs reprises, notamment en 1966.

A la suite des élections législatives organisées cette année, le Kndp disposait du plus grand nombre de députés à la House of Assembly. Mais son Président, J.N. Foncha, jusque-là Vice-Président de la République Fédérale et Premier Ministre du Cameroun Occidental, ne pouvait plus cumuler ces deux fonctions, en vertu d’une loi récemment votée. Le président Ahidjo a décidé de le remplacer par l’honorable S.T. Muna qu’il estimait plus fédéraliste que le N°2, Augustine Ngom Jua. Mais le parlement lui a envoyé un message ferme selon lequel il refuserait l’investiture à un gouvernement dirigé par un parti minoritaire. Ahidjo fut contraint de nommer à ce poste l’honorable Augustine Ngom Jua vice- président du Kndp dont les penchants autonomistes l’irritaient.

Des incidents n’ont d’ailleurs pas tardé. D’abord entre le Premier Ministre et l’Inspecteur Fédéral de l’Administration pour la région du Cameroun Occidental –on dirait aujourd’hui Gouverneur- qu’il considérait comme étant sur son territoire. Puis entre la Police, force fédérée placée sous l’autorité du Premier Ministre, et la Gendarmerie nationale, force fédérale, qui faillirent en venir à une confrontation armée ! Des acteurs et témoins de ces incidents sont encore vivants.

*Frustrations*
Le fait que tout cela ait été supprimé sans être remplacé, sur le plan managérial, par quelque chose de meilleur ni même d’aussi bon, a généré les frustrations et les revendications dont nous vivons encore les effets aujourd’hui. Les nominations dans la haute administration et le secteur parapublic, par exemple, ne répondaient plus à une rationalité lisible, et les anglophones se sont sentis marginalisés. Alors que, jusque-là, tout se faisait sur place au Cameroun Occidental, il fallait désormais se rendre à Yaoundé pour « suivre les dossiers ». Nos compatriotes de cette partie du territoire national venaient avec la conviction que les fonctionnaires- civil servants- étaient effectivement au service des usagers. Ils étaient ahuris dès l’accueil qui leur était réservé par les agents publics qui, malgré le caractère bilingue de l’Etat, les obligeaient de baragouiner un franglais à peine intelligible, souvent au milieu des rires et des quolibets.

2) *Le transfert des centres de décision à Yaoundé.*
Les centres de décision, jadis proches des populations et de leurs problèmes, ont tous été transférés loin de ceux-ci pour être concentrés à Yaoundé. Conséquences : une hyper centralisation, d’exaspérantes lenteurs, de multiples inefficacités dans la gestion publique, l’absence de redevabilité des dirigeants vis-à-vis des populations qu’ils ont mission de servir. Deux exemples suffiront pour l’illustrer.

Le gouvernement a décidé de centraliser au Parc National de Matériel de Génie Civil (PNMGC) à Yaoundé tout le matériel de génie civil jusque-là détenu par les subdivisions des travaux publics, dans les chefs- lieux des régions et certains chefs-lieux des départements. Tous les engins en bon état de l’ancien Public Works Department (PWD) du Cameroun Occidental furent ainsi transférés à Yaoundé, pour être désormais mis en location par le PNMGC. Or, les agents du PWD, qui maîtrisaient le rythme des saisons, commençaient l’entretien routier deux ou trois pluies avant l’arrivée de la saison sèche, pour consolider la chaussée. Ils ont donc voulu faire la même chose, l’année qui a suivi cette centralisation. Lorsqu’ils ont demandé à louer des engins au PNMGC, y compris ceux qui leur appartenaient en toute propriété quelques mois plus tôt, ils se sont entendu répondre que les engins étaient sur d’autres chantiers ; que les porte chars étaient en panne ; que le « carton » confirmant l’engagement de leurs dépenses n’était pas encore sorti du Ministère des finances ; ou d’autres raisons encore.

Devant l’Etat déplorable du réseau routier qui empirait, les populations ont menacé de se révolter bruyamment. Il a fallu remonter jusqu’au président de la République, après avoir frappé à toutes les portes sans succès, pour qu’un début de solution soit trouvé à ce problème qui devenait explosif. Centralisation, quand tu nous tiens !
Deuxième exemple : le transfert à la Société Nationale des Eaux du Cameroun (SNEC), de la gestion des adductions d’eau jusque-là assurée par certaines communes. Cette décision du gouvernement n’a même pas été expliquée aux populations. Or, les adductions d’eau avaient été réalisées sur leurs fonds propres par les communes et les communautés villageoises, avec ou sans l’appui de certains partenaires extérieurs. Venue pour en assurer la gestion et sans y avoir investi le moindre franc, la SNEC a pris, comme une de ses premières décisions, de réduire le nombre de bornes fontaines.

Dans la ville de Kumbo, la révolte a failli se transformer en émeutes. Le maire UNC de la ville eut beau expliquer que les canalisations avaient été financées par les populations bénéficiaires elles-mêmes, que celles-ci payaient régulièrement leurs quittances à la commune, qu’il était dangereux pour la santé des populations de les priver d’eau potable,…rien n’y fit. Un mot d’ordre se répandit alors comme une trainée de poudre : « Beware of the snake! It has come to bite and kill ». Jeu de mots ironique à partir du mot SNEC. Ces populations en colère furent accusées de « rébellion contre l’autorité établie ». Il a fallu remonter jusqu’au niveau du gouvernement pour qu’une solution soit trouvée à un problème de bornes fontaines dans des communautés de l’arrière-pays. Centralisation, quand tu nous tiens !

Des cas de cette nature et d’autres sujets de mécontentement se sont multipliés. Il ne s’agissait pas, bien évidemment, d’une volonté malicieuse du Pouvoir central, mais plutôt d’une opposition entre deux cultures administratives : l’une, aux réflexes instinctivement centralisateurs, et l’autre, fonctionnant par nature sur le principe de la responsabilisation à différents échelons hiérarchiques des organisations.

Il est intéressant de remarquer que les populations francophones, qui subissaient les mêmes effets de cette hypercentralisation, n’ont pas eu les mêmes réactions. Encore un problème culturel. En effet, et nos frères anglophones pourraient le comprendre sans difficulté, les francophones posent de nombreux actes sans même se rendre compte qu’ils indisposent, et pas du tout par méchanceté. Je prends l’exemple des noms de nos circonscriptions administratives.

Lors de la création des régions en 1962, les circonscriptions administratives jadis connues sous les noms de « région Bamiléké » et « région Bamoun » ont été regroupées pour constituer la région administrative de l’Ouest. A juste titre, parce que c’était l’Ouest du Cameroun Oriental. Mais l’ouest du territoire de l’Etat fédéral, c’était le Cameroun occidental, appelé à juste titre là aussi, « West Cameroon ». Lors de la transformation des régions en provinces en 1972, celle de l’Ouest est devenue la province de l’Ouest, alors que le Cameroun oriental venait de disparaitre ! Notre pays est ainsi le seul au monde où le Nord-ouest et le Sud-ouest sont contigus ! Alors que, comme nos instituteurs nous l’ont appris, entre le Nord-ouest et le Sud-ouest, s’étend l’Ouest.

Pour mieux faire comprendre ce que ressentent nos frères anglophones, inversons la situation.
Le 1er janvier 1960, le Southern Cameroon devient indépendant. Il négocie les conditions de la réunification avec le Cameroun francophone. Cette réunification est réalisée le 1er octobre 1961. Lors des négociations, le Cameroun francophone obtient la garantie que la forme fédérale de l’Etat serait à jamais intangible. Un article de la Constitution fédérale du 1er septembre 1961 consacre cette garantie. Il est tout de même mis fin à l’Etat fédéral le 20 mai 1972, et un Etat unitaire est institué. De Kribi à Ndikiniméki, de Batouri à Tibati, de Poli à Kousséri…. les populations sont désormais obligées de se rendre à Buéa pour suivre leurs dossiers. Il leur est exigé de s’exprimer en anglais. Devant des agents publics hautains et goguenards, prompts à les tourner en dérision, même ceux qui n’ont jamais appris l’anglais se voient obligés de baragouiner un camfranglais difficilement intelligible…
Qui pourrait, honnêtement, soutenir que les francophones se seraient satisfaits d’une telle situation, au point de s’y complaire et de se taire ?

3) *Le non-respect des promesses solennelles faites pendant la campagne référendaire.*

Les promesses faites pendant la campagne pour le « Oui » au référendum et qui avaient déterminé un grand nombre d’électeurs à voter dans ce sens le 20 mai 1972, ont à peine été respectées. C’est notamment le cas pour l’accélération du développement qui, dans ces deux régions, devait résulter des économies réalisées grâce à la suppression des institutions et organismes des Etats fédérés. Les mandataires du gouvernement fédéral et du parti de l’UNC avaient effectivement promis le bitumage des routes, la construction de barrages, l’urbanisation des villes, le développement des zones frontalières, etc. J’ai personnellement assisté à certains de ces discours, ayant fait partie de l’équipe du Secrétaire Politique de l’UNC et Ministre de l’Administration Territoriale Fédérale (je servais alors comme directeur de l’organisation du territoire dans ce ministère).

4) *Le non-respect des engagements relatifs à la prise en compte, de manière équitable, des cultures et traditions institutionnelles, juridiques, administratives…héritées de la colonisation.*

Qu’on le veuille ou non, la colonisation britannique, tout comme la colonisation française, a produit une culture et des traditions institutionnelles, politiques, administratives, managériales et autres. Elle a aussi façonné des manières de raisonner et de vivre. Il était donc nécessaire de prendre en compte, de manière équitable, malgré la fin de l’Etat fédéral, ce double héritage des systèmes anglo-saxon et français. L’Etat du Cameroun s’y était engagé.

Ainsi, au lendemain de l’institution de l’Etat unitaire, le discours politique mit un accent appuyé sur le caractère bilingue et pluriculturel de l’Etat. Il était affirmé, de manière emphatique, que la prise en compte des éléments positifs de notre double héritage colonial viendrait enrichir les valeurs positives de nos traditions multiséculaires, sève vivifiante de notre marche vers le progrès. Le Conseil National de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, ainsi que le Conseil National des Affaires Culturelles, organisés en

1974, contribuèrent à définir le profil de ce nouveau Camerounais
C’était aussi un des engagements forts pris par le Président AHIDJO auprès de S.T. MUNA et de J.N. FONCHA, lorsqu’il les a consultés sur l’institution immédiate d’un Etat unitaire avant de prononcer son discours du 06 mai 1972. Ces deux anciens Vice-Présidents de la République me l’ont affirmé, au cours d’entretiens dans leurs résidences.
Aux yeux de certaines populations du Nord-ouest et du Sud-ouest, cet engagement n’a pas été respecté

Les compatriotes francophones reprochent souvent à leurs frères anglophones leur penchant à se référer, de manière quasi obsessionnelle, à l’héritage colonial anglo-saxon, comme si c’est l’héritage colonial qui devait structurer les relations entre des communautés depuis longtemps unies par de liens multiples, avant même le début de la colonisation. Dans le même temps, ils recourent avec délectation à « leur » héritage colonial français. Notre Constitution, nos institutions, notre organisation administrative, notre système de décentralisation, notre régime financier, l’écrasante majorité de nos textes législatifs et réglementaires… sont issus de l’héritage colonial français. Parfois même, nous nous livrons à de simples transpositions, certaines pouvant aller jusqu’à la photocopie, comme lors de la mise en place de l’Observatoire National des Elections (ONEL).

Pourtant, nous aurions pu -et nous pouvons toujours- capitaliser cet héritage multiculturel, pour donner à notre pays des normes plus appropriées et de meilleure qualité. Notre Code de Procédure Pénale n’est-il pas là pour en donner une preuve éloquente ?

Ce penchant pour le mimétisme institutionnel a poussé des mouvements contestataires comme le « Cameroon Action Movement » à affirmer que le Cameroun francophone poursuivait, par procuration, la colonisation française au Cameroun occidental. Surgi en 1979, et probablement basé à l’étranger, ce mouvement a fait circuler de nombreux tracts au Cameroun, la plupart postés du Canada et des Etats unis. Ces tracts dénonçaient pêle-mêle, la marginalisation des anglophones, traités comme des citoyens de seconde zone ; la francisation du Cameroun, au mépris de l’égalité des deux héritages coloniaux ; la transformation de l’Assemblée Nationale en simple chambre d’enregistrement, contrairement à ce qui se passait au Cameroun occidental ; une centralisation excessive ; la multiplicité et la complexité des procédures ; l’abandon des priorités de développement qui étaient celles du Cameroun occidental avant l’unification, avec comme conséquence, le ralentissement du développement dans cette partie du territoire ; etc.

Conscient de l’impact de ces messages dont les supports s’accumulaient, le Président AHIDJO dépêcha à Bamenda et à Buéa de fortes délégations composées de membres du gouvernement, du bureau politique et du comité central de l’UNC. Leur mission était de restituer les faits dans leur vérité, de donner des explications aux populations, de mettre celles-ci en garde contre la nocivité de tels messages, et de faire baisser la tension. Puis il mit en place un comité ad hoc de haut niveau, pour mener une réflexion sur le problème anglophone.

Seuls trois des membres de ce comité sont encore en vie, par la grâce de Dieu: S.E.M. Paul Biya, alors Premier Ministre ; Mme Dorothy Limunga Njeuma, alors Vice-Ministre de l’Education Nationale ; moi-même, alors Gouverneur de la Province du Nord-ouest. Tous les autres nous ont déjà précédés. Je citerai de mémoire : Solomon Tandeng Muna, Président de l’Assemblée Nationale, Président du Comité ; les Ministres d’Etat/Ministres Samuel Eboua ; Sadou Daoudou ; Victor Ayissi Mvodo ; Emmanuel Egbé Tabi ; Namata Elangwé ; Christian Songwe Bongwa ; Joseph Chongwain Awunti ; le député et Secrétaire Administratif de l’UNC, Thomas Ebongalamé ; le Secrétaire Permanent à la Défense Nationale, Samuel Kamé ; le Directeur Général de la DIRDOC, Jean Fochivé ; le gouverneur du Sud-ouest ; Fon Fosi Yakum Ntaw….

Je fus désigné rapporteur de ce Comité. Le secret professionnel m’interdit de divulguer ici les constats, conclusions et recommandations contenus dans notre rapport. Toutefois, par respect pour la vérité historique, je dois signaler qu’aucun des membres de ce comité n’émit le moindre doute sur l’existence d’un problème anglophone au Cameroun.
Les travaux durèrent toute une semaine. Après lecture de notre rapport, le Président de la République décida de recevoir, individuellement, chacun des membres de ce comité. Je me rappelle qu’à cette occasion, il me donna longuement son point de vue sur les différents contours de cette question, avant de solliciter de ma part des propositions concrètes sur les aspects spécifiques à ma province.

Reconnu à l’époque comme réel par les plus hautes autorités de l’Etat, le problème anglophone aurait-il disparu, comme par enchantement ? Certainement pas. D’autant moins que certains faits sont venus s’ajouter à une situation déjà complexe.

5) *Le changement du nom de l’Etat : remplacement de « la République Unie du Cameroun » par « la République du Cameroun »*
A son accession à l’indépendance, l’ancien Etat sous tutelle française avait pris le nom de « République du Cameroun ». C’est avec la République du Cameroun que le Southern Cameroon a négocié les conditions de la réunification. A l’avènement de celle-ci, la République du Cameroun est devenue l’Etat Fédéré du Cameroun Oriental, et le Southern Cameroon, l’Etat Fédéré du Cameroun Occidental, au sein de la République Fédérale.

Le Changement de nom de l’Etat en 1984- abandon de la République Unie du Cameroun et retour à la République du Cameroun- a été perçu dans de nombreux milieux comme une simple phagocytose de l’ancien Cameroun Occidental par l’ancien Cameroun Oriental. Les plus pessimistes y ont vu une volonté manifeste de faire disparaître, même sur le plan des symboles, la contribution de l’ancien Cameroun Occidental à la Réunification et à la construction d’une nation plus grande.

Ce changement de nom a aussi fait resurgir, chez de très nombreux compatriotes du Nord-ouest et du Sud-ouest, le sentiment de constituer une « entité distincte». Celle dont les populations, souverainement, avaient choisi de retrouver des frères et sœurs d’une autre « entité » dont elles avaient été séparés, afin que les deux vivent en harmonie et dans l’égalité. Pour les extrémistes, il fallait donc, non seulement résister à « cette phagocytose », mais aussi pérenniser cette « entité » à travers un nom qui rappellerait l’histoire de cette partie du territoire national. Le nom « Ambazonia » paraissait répondre à ce souci.

D’où vient ce nom ? Avant que des explorateurs portugais n’atteignent le Wouri et ne lui donnent le nom de « Rio dos Cameroes », ils avaient accosté dans la baie de Limbé. Le saint du jour était Saint Ambroise, dans le calendrier Julien (nous sommes en 1492). Ils donnèrent donc à cette baie le nom d’ « Ambass Bahia », la Baie Ambroise. Sous l’influence de l’anglais, ce nom devint « Ambass Bay ». C’est l’origine de la danse dont l’orthographe a été francisée pour devenir « ambass-bé » ou « ambassibé » ou autre chose encore. Mais le nom d’Ambazonia ne fit pas l’unanimité. D’où le retour à celui de « Southern Cameroon ».

Par souci de vérité, il convient de préciser que les inspirateurs de ce changement de nom étaient de bonne foi : j’en ai discuté avec certains d’entre eux. Brillants universitaires fraichement intégrés dans les cercles stratégiques de décision au sommet de l’Etat, ils étaient encore peu informés de certaines réalités du Cameroun profond, et seulement en train de développer le réflexe de les convoquer lors de la préparation des décisions des autorités publiques , afin d’en garantir une saine réception par les différents segments du corps social. A aucun moment, il ne leur était venu à l’esprit de mettre mal à l’aise une partie de leurs compatriotes. Leur raisonnement était plutôt le suivant.

L’unité nationale avait été le crédo des Pouvoirs Publics sous l’Etat fédéral et la République Unie. L’élection du Président Biya à la fin du mois de décembre 1983 a marqué l’entrée du, Cameroun dans l’ère du Renouveau National. Le Renouveau national postulant qu’il fallait passer de l’unité nationale à sa phase supérieure, l’intégration nationale, ce passage constituait une véritable mutation, qui devait être reflétée à travers le nom même de l’Etat. La République Unie du Cameroun devrait donc « devenir » la République du Cameroun.
Le projet de loi déposé sur le bureau de l’Assemblée Nationale était ainsi rédigé : « A compter de la date de promulgation de la présente loi, la République Unie du Cameroun devient la République du Cameroun ». C’est un amendement parlementaire qui a abouti à la formulation actuelle : «…la République Unie du Cameroun prend la dénomination de République du Cameroun » ; formulation du reste incorrecte, sur le plan légistique. Les inspirateurs de ce projet ne s’étaient pas rendu compte de ce qu’au lieu d’une mutation, il s’agissait plutôt d’un retour au nom de l’Etat du Cameroun sous tutelle française à son accession à l’indépendance, un quart de siècle auparavant.

Le dépôt de ce projet de loi mit en émoi de nombreuses personnes dans les provinces du Nord-ouest et du Sud-ouest. A Buéa où je servais alors, j’ai personnellement été interpellé par des dizaines de personnes, y compris des responsables de l’UNC, qui demandaient le sens, l’opportunité et la justification de ce retour à la situation d’avant la Réunification. A Yaoundé, les ministres originaires des deux provinces anglophones étaient tous contrariés. Plusieurs sont en vie et peuvent en témoigner.
Certains députés originaires du Nord-ouest et du Sud-ouest ont même préconisé une fronde ouverte, et recommandé un vote négatif. Ils se retrouvèrent tous autour du Président de l’Assemblée Nationale, le Très Honorable S.T. Muna. Après des échanges longs et animés, ils se rallièrent à la position du Président de l’Assemblée et d’autres députés modérés qui trouvaient inopportun de soulever un vent de fronde, en raison des circonstances du moment. Leur argument était à la fois logique et patriotique. Constatant que le conflit entre l’ancien Président de la République et son successeur avait atteint des proportions préoccupantes, ils estimaient qu’un vent de fronde dans les provinces anglophones, à ce moment précis, fragiliserait sans nul doute le nouveau Président, et donnerait des arguments à ceux qui s’opposaient à lui.

*6 Avril 1984*
Ils renoncèrent à la fronde, mais chargèrent le Président de l’Assemblée Nationale d’attirer l’attention du Président de la République sur l’état d’esprit des populations dans leurs circonscriptions électorales, et de lui demander de trouver, avec la sagesse de père de la Nation, une solution satisfaisante pour tous. Les préoccupations relatives à cette loi ne s’estompèrent qu’à cause de la survenance, dans cette période troublée, d’événements graves : la condamnation à mort de l’ancien président de la république, et la mutinerie de la Garde Républicaine le 06 avril 1984. Tout le monde comprit qu’en des temps pareils, le peuple tout entier devait faire front derrière ses dirigeants.

6) *Le non-respect du bilinguisme dans le secteur public, bien que la Constitution fasse du français et de l’anglais deux langues officielles d’égale valeur.*
Des six facettes du problème anglophone rappelées ci-dessus, laquelle serait insusceptible de solutions ? Aucune ! Absolument aucune. Alors que faire ?

L’Histoire a lancé aux Camerounais un défi sublime : celui de bâtir, à partir du parcours singulier de leur pays, un Etat uni, capable de constituer un modèle d’intégration des divers héritages coloniaux et de ses valeurs traditionnelles multiséculaires. S’il y réussit, il peut servir de modèle, voire de référence pour tous les pays anglophones, francophones, hispanophones et lusophones d’Afrique. Il pourrait ainsi constituer l’épitomé de l’Unité Africaine. Ce défi peut être relevé. Il doit l’être.
Cela ne peut, toutefois, se faire qu’avec humilité, dans le dialogue, la concertation et l’entente cordiale. Ni la puissance du nombre, ni la force militaire ne peuvent y parvenir. En effet, c’est bien connu, « les opinions sont comme des clous : plus on frappe dessus, plus on les enfonce ».

*Pas d'erreur !*
Ne commettons surtout pas l’erreur de prendre de haut ce problème. Nous risquerions d’avoir des réveils amers ; ou alors, ce sont nos enfants et petits-enfants qui en auront.
Quand j’ai lu le mot Boko Haram pour la première fois dans un journal, je me trouvais à l’étranger. J’ai alors demandé à un collègue consultant nigérian des informations sur ce groupe. Avec un sourire narquois, il m’a répondu : « tu sais, ce n’est qu’un insignifiant groupuscule de fanatiques illuminés ». Devant les milliers de morts, les centaines de milliers de réfugiés et déplacés, les centaines de milliards de francs utilisés pour combattre cette nébuleuse, ou les souffrances sans nom qu’elle continue d’infliger, personne ne pourrait tenir un tel langage aujourd’hui. Que s’est-il passé ? Boko Haram a trouvé des appuis à l’extérieur. N’attendons pas que des compatriotes mal à l’aise et qui crient leur mal être, en viennent un jour, par désespoir, à rechercher des appuis à l’extérieur.

Nous discutons bien avec des criminels, pour libérer des otages ! Discutons avec tous les compatriotes qui en ressentent le besoin, pour libérer le Cameroun des menaces à la paix, à sa stabilité et à sa sécurité.

Dans les années 1960 en France, Etat unitaire et millénaire, le Front de Libération de la Bretagne (FLB) dénonçait ce qu’il appelait le « colonialisme français en Bretagne ». Stagiaire dans une préfecture dans l’ouest de la France, j’ai vu certains de ses militants brandir le drapeau du FLB à la place du drapeau français. Aujourd’hui, seuls les historiens parlent encore du FLB. Ce n’est pas le résultat d’une guerre ; ni d’un embastillement de tous les protagonistes du FLB. C’est la conséquence d’une offre politique, le résultat d’un dialogue républicain.

Il y a quelques années, je discutais avec le Dr. Ngwang Gumne, un des principaux leaders du courant sécessionniste, avec qui nous avions servi à Bamenda. Par hasard, nous nous étions retrouvés en Suède, tout heureux de nous revoir. A l’issue de plus de deux heures de discussions, il eut cette phrase : « mon frère, comme personne ne veut nous écouter, tout le monde finira par nous entendre ». Je lui ai fait remarquer qu’il m’appelait toujours son frère, alors que, pendant toutes nos discussions, j’argumentais contre la sécession. Avec un sourire, il me dit : « C’est vous à Yaoundé qui ne voulez pas nous écouter ».

Ecoutons tous les enfants de la patrie. Sans préjugés, comme l’a demandé le Président de la République dans son message à la Nation le 31 décembre 2016. Offrons à tous nos compatriotes des cadres de discussion et de concertation, pour aborder nos problèmes sans parti pris, et les résoudre avec sincérité, dans la vérité.
Ce qui est en cours avec les avocats et les enseignants va dans la bonne direction. Mais ne nous limitons pas au traitement de ce qui ne constitue que des manifestations, voire de simples symptômes. Abordons, dans toute sa complexité et toute sa profondeur, le problème anglophone. Avec courage et détermination, apportons-y des solutions satisfaisantes et convaincantes. Tous les citoyens de notre pays en bénéficieront. Pour la paix dans la justice. Pour le bien de la nation. Pour le salut de la patrie.

​​​​​ *David Abouèm à Tchoyi*

Consultant
*Ancien gouverneur du Sud-Ouest, puis du Nord-Ouest;*
*Ancien Minesup;*
*Ancien Sg/Pr*

samedi 7 septembre 2019

Faire attention ⚠

La fille que tu appeles "put" est en manque d'affection et a connu de nombreuses déceptions.
Le jeune homme que tu traites de timide fait une dépression et pense constamment au suicide.
La mère que tu qualifies de méchantes élève seul ces enfants et est au sommet du stresse.
Le petit que tu traites de délinquant au quartier, a besoin d'un grand Frere comme repère.
Le monsieur qui dort tout les soir àu bar a perdu tout ce qu'il a investi dans une affaire.
Avant de juger il faut aimer. Car on ne peut sincèrement tenir la main de celui qui a besoin d'aide sans regarder A sa peine. On ne peut prétendre être la solution si on n'étudie pas la question. Nous sommes tous faillibles, chacun face à ses  combats. Avec compassion sachons tendre la main. Si non passons notre chemin.

dimanche 28 juillet 2019

*25 Vérités impopulaires que les gens ont du mal à accepter

1- L'école ne garantit pas la réussite.
2- L'âge ne remplace pas le diplôme.
3- Avoir des diplômes n'est pas un critère d'intelligence.
4- L'expérience ne dépend pas de l'âge.
5- Le talent n'est pas une excuse pour paresser.
6- Le talent ne vous rend pas supérieur.
7- On peut être talentueux sans jamais réussir sa vie.
8- L'âge ne détermine pas le talent.
9- Avoir une voiture n'est pas synonyme de réussite
10- L'intelligence est différente de la mémorisation.
11- Être 1er de classe ne veut rien dire.
12- On peut être 1er de classe et rater sa vie.
13- Le travail ne suffit pas toujours.
14- Il ne faut jamais négliger le réseau.
15- Le réseau c'est pas le piston.
16- L'incompétence ne se dissimule jamais longtemps.
17- Tout le monde ne peut pas être entrepreneur.
18- Même si tu rêves grand, il faut toujours commencer petit.
19- Le jour où tu cesses d'apprendre, tu as tout perdu.
21- Il n'y a pas de sot métier, il n'y a que des sots tout courts.
22- La discipline est la clé.
23- L'organisation est la porte.
24- L'expérience est le bouclier
25- Il y a plusieurs manières d'être intelligent.

samedi 27 juillet 2019

Bon à savoir

1. Vos chaussures sont la première chose que les gens remarquent inconsciemment à votre sujet. Portez de belles chaussures.
 
2. Si vous restez assis plus de 11 heures par jour, vous avez 50% de chances de mourir dans les 3 prochaines années.
 
3. Il y a au moins 6 personnes dans le monde qui vous ressemblent exactement. Il y a 9% de chances que vous en rencontriez un dans votre vie.
 
4. Dormir sans oreiller réduit les maux de dos et maintient votre colonne vertébrale plus fort.
 
5. La taille d'une personne est déterminée par son père et son poids est déterminé par sa mère.
 
6. Si une partie de votre corps "s'endort", vous pouvez presque toujours le "réveiller" en secouant la tête.
 
7. Le cerveau humain ne peut résister à trois choses: la nourriture, les personnes attirantes et le danger.

8. Les droitiers ont tendance à mâcher les aliments sur le côté droit.

9. Mettre des sachets de thé secs dans des sacs de sport ou des chaussures malodorantes absorbera les odeurs désagréables.

10. Selon Albert Einstein, si les abeilles disparaissaient de la terre, les humains seraient morts d'ici 4 ans.
 
11. Il y a tellement de sortes de pommes que si vous en mangiez une nouvelle tous les jours, il faudrait plus de 20 ans pour les essayer toutes.

12. Vous pouvez survivre sans manger pendant des semaines, mais vous ne vivrez que 11 jours sans dormir.

13. Les gens qui rient beaucoup sont en meilleure santé que ceux qui ne le font pas.

14. La paresse et l'inactivité tue autant de personnes que le tabagisme.

15. Un cerveau humain a la capacité de stocker 5 fois plus d'informations que Wikipedia.

16. Notre cerveau utilise la même quantité d'énergie qu'une ampoule de 10 watts !!

17. Notre corps donne suffisamment de chaleur en 30 minutes pour faire bouillir 1,5 litre d'eau !!

18. L'ovule est la plus grande cellule et le sperme est la plus petite cellule !!

19. L'acide gastrique (HCl concentré) est assez fort pour dissoudre les lames de rasoir!

20. Faites une promenade de 10 à 30 minutes chaque jour et pendant que vous marchez, SOURIRE. C'est l'antidépresseur ultime.
 
21. Asseyez-vous en silence pendant au moins 10 minutes chaque jour.

22. Lorsque vous vous réveillez le matin, priez pour demander conseil à Dieu dans votre but, aujourd'hui.

23. Mangez plus d'aliments qui poussent sur les arbres et les plantes et mangez moins d'aliments fabriqués dans les plantes.

24. Buvez du thé vert et beaucoup d'eau. Mangez des bleuets, du brocoli et des amandes.

25. Essayez de faire sourire au moins trois personnes chaque jour.

26. Ne gaspillez pas votre précieuse énergie dans les potins, les vampires énergétiques, les problèmes du passé, les pensées négatives et les choses que vous ne pouvez pas contrôler. À la place, investissez votre énergie dans le positif du moment présent.
 
27. Mangez un petit-déjeuner comme un roi, déjeunez comme un prince et dînez comme un collégien avec une carte de paiement à taux maximum.

28. La vie n'est pas juste, mais c'est toujours bien.

29. La vie est trop courte pour perdre du temps à haïr quelqu'un. Pardonne-leur tout.

30. Ne te prends pas trop au sérieux. Personne d'autre ne le fait.
 
31. Vous n'avez pas à gagner tous les arguments. Convenir d'être en désaccord.

32. Faites la paix avec votre passé pour ne pas gâcher le présent.

33. Ne comparez pas votre vie aux autres. Vous n'avez aucune idée de ce qu'est leur voyage.

34. Personne n'est responsable de votre bonheur sauf vous.

35. Encadrez chaque soi-disant désastre avec ces mots: «Dans cinq ans, est-ce que cela compte?

36. Aide les nécessiteux, sois généreux! Être un «donneur» pas un «preneur»

37. Ce que les autres pensent de vous ne vous regarde pas.

38. Le temps guérit tout.

39. Quelle que soit la qualité de la situation, elle changera.
 
40. Votre travail ne prendra pas soin de vous lorsque vous êtes malade. Vos amis le feront. Reste en contact.
 
41. L'envie est une perte de temps. Vous avez déjà tout ce dont vous avez besoin.
 
42. Chaque nuit avant d'aller au lit, priez Dieu et soyez reconnaissant pour ce que vous avez accompli aujourd'hui. Et si vous vous réveilliez ce matin et que vous n'aviez que ce que vous avez remercié pour hier? N'OUBLIEZ PAS DE REMERCIER DIEU POUR TOUT.
 
43. Rappelez-vous que vous êtes trop béni pour être stressé.
 
Maintenant: Pensez à transmettre cela à vos amis pour les aider à vivre une vie plus heureuse et en meilleure santé.

Bon à savoir

1. Vos chaussures sont la première chose que les gens remarquent inconsciemment à votre sujet. Portez de belles chaussures.
 
2. Si vous restez assis plus de 11 heures par jour, vous avez 50% de chances de mourir dans les 3 prochaines années.
 
3. Il y a au moins 6 personnes dans le monde qui vous ressemblent exactement. Il y a 9% de chances que vous en rencontriez un dans votre vie.
 
4. Dormir sans oreiller réduit les maux de dos et maintient votre colonne vertébrale plus fort.
 
5. La taille d'une personne est déterminée par son père et son poids est déterminé par sa mère.
 
6. Si une partie de votre corps "s'endort", vous pouvez presque toujours le "réveiller" en secouant la tête.
 
7. Le cerveau humain ne peut résister à trois choses: la nourriture, les personnes attirantes et le danger.

8. Les droitiers ont tendance à mâcher les aliments sur le côté droit.

9. Mettre des sachets de thé secs dans des sacs de sport ou des chaussures malodorantes absorbera les odeurs désagréables.

10. Selon Albert Einstein, si les abeilles disparaissaient de la terre, les humains seraient morts d'ici 4 ans.
 
11. Il y a tellement de sortes de pommes que si vous en mangiez une nouvelle tous les jours, il faudrait plus de 20 ans pour les essayer toutes.

12. Vous pouvez survivre sans manger pendant des semaines, mais vous ne vivrez que 11 jours sans dormir.

13. Les gens qui rient beaucoup sont en meilleure santé que ceux qui ne le font pas.

14. La paresse et l'inactivité tue autant de personnes que le tabagisme.

15. Un cerveau humain a la capacité de stocker 5 fois plus d'informations que Wikipedia.

16. Notre cerveau utilise la même quantité d'énergie qu'une ampoule de 10 watts !!

17. Notre corps donne suffisamment de chaleur en 30 minutes pour faire bouillir 1,5 litre d'eau !!

18. L'ovule est la plus grande cellule et le sperme est la plus petite cellule !!

19. L'acide gastrique (HCl concentré) est assez fort pour dissoudre les lames de rasoir!

20. Faites une promenade de 10 à 30 minutes chaque jour et pendant que vous marchez, SOURIRE. C'est l'antidépresseur ultime.
 
21. Asseyez-vous en silence pendant au moins 10 minutes chaque jour.

22. Lorsque vous vous réveillez le matin, priez pour demander conseil à Dieu dans votre but, aujourd'hui.

23. Mangez plus d'aliments qui poussent sur les arbres et les plantes et mangez moins d'aliments fabriqués dans les plantes.

24. Buvez du thé vert et beaucoup d'eau. Mangez des bleuets, du brocoli et des amandes.

25. Essayez de faire sourire au moins trois personnes chaque jour.

26. Ne gaspillez pas votre précieuse énergie dans les potins, les vampires énergétiques, les problèmes du passé, les pensées négatives et les choses que vous ne pouvez pas contrôler. À la place, investissez votre énergie dans le positif du moment présent.
 
27. Mangez un petit-déjeuner comme un roi, déjeunez comme un prince et dînez comme un collégien avec une carte de paiement à taux maximum.

28. La vie n'est pas juste, mais c'est toujours bien.

29. La vie est trop courte pour perdre du temps à haïr quelqu'un. Pardonne-leur tout.

30. Ne te prends pas trop au sérieux. Personne d'autre ne le fait.
 
31. Vous n'avez pas à gagner tous les arguments. Convenir d'être en désaccord.

32. Faites la paix avec votre passé pour ne pas gâcher le présent.

33. Ne comparez pas votre vie aux autres. Vous n'avez aucune idée de ce qu'est leur voyage.

34. Personne n'est responsable de votre bonheur sauf vous.

35. Encadrez chaque soi-disant désastre avec ces mots: «Dans cinq ans, est-ce que cela compte?

36. Aide les nécessiteux, sois généreux! Être un «donneur» pas un «preneur»

37. Ce que les autres pensent de vous ne vous regarde pas.

38. Le temps guérit tout.

39. Quelle que soit la qualité de la situation, elle changera.
 
40. Votre travail ne prendra pas soin de vous lorsque vous êtes malade. Vos amis le feront. Reste en contact.
 
41. L'envie est une perte de temps. Vous avez déjà tout ce dont vous avez besoin.
 
42. Chaque nuit avant d'aller au lit, priez Dieu et soyez reconnaissant pour ce que vous avez accompli aujourd'hui. Et si vous vous réveilliez ce matin et que vous n'aviez que ce que vous avez remercié pour hier? N'OUBLIEZ PAS DE REMERCIER DIEU POUR TOUT.
 
43. Rappelez-vous que vous êtes trop béni pour être stressé.
 
Maintenant: Pensez à transmettre cela à vos amis pour les aider à vivre une vie plus heureuse et en meilleure santé.

dimanche 7 juillet 2019

AGREEMENT BEFORE SEX!

Due to the current and often false allegations made by women, which include Rape, Harassment, Blackmail etc. there is now an agreement to be signed before "action".

AGREEMENT BEFORE SEX

I, ___________________, the undersigned female partner (herein referred to as the 'Screwee'), am about to enjoy sexual intercourse with _________________ (hereafter referred to as the 'Screwer'), certify the following:

1. THAT I am above the lawful age of consent.

2. THAT I am not under the influence of liquor or any narcotic.

3. THAT the afore mentioned Screwer did not use any force, threats, coercion or promises to influence me.

4. THAT I, the Screwee, am in no fear of him whatsoever.

5. THAT I do not expect or wish to marry him.

6. THAT I do not know if he is married or not and neither do I care.

7. THAT I am neither asleep nor drunk.

8. THAT I am entering this relationship with him; because I love it and want it as much as he does.

9. THAT in the event that I receive full satisfaction, which I expect, I declare in advance the capacity and willingness for further participation at regular intervals.

10. THAT I will not act as a witness against him nor will I file charges against him in the event that,
  (a) I contract an STD
  (b) I become pregnant
  (c) I feel that he is violating any legislation - moral, legal or otherwise.

SIGNED BEFORE JUMPING INTO BED ON THIS ___ DAY OF _____ (MONTH) ________ (YEAR) AT ______ (AM/PM)

_______________________
(Signature of Screwee)

-------------------------------------
(Signature of Screwer)

Guys, is this cool?🤦‍♂🤦‍♂🤦‍♂🤦‍♂ 🚶 🚶 🚶 🚶 🏃 🏃 🏃

ITINÉRAIRES DES CAMARADES DE CLASSE

Après le secondaire, tous vos camarades d'école et de classe sont partis dans différentes directions du monde.

Certains ont terminé des universités et sont maintenant:
Professeurs
Médecins,
Ingénieurs,
Enseignants,
Pilotes,
Avocats,
Administrateurs,
Imams,
Pasteurs,
Responsables dans les ministères,
Magnats des affaires, etc.

Certains sont mariés
Certains ont accouché,
Certains cherchent encore et attendent le Seigneur.
Certains sont morts, n'oublie pas ça aussi.

Et d'autres sont sur le lit d'hôpital,
Certains ont des diplômes supérieurs: maîtrise, doctorat, etc.

Certains ne sont même pas entrés dans l’établissement tertiaire et ne le pourront JAMAIS.

Certains ont leurs propres d'entreprises,
Certains sont maintenant administrateurs et actionnaires principaux de sociétés globalisées.

Mais comment vous sentez-vous lorsque vous rencontrez vos camarades de classe et qu’ils semblent avoir réalisé leurs rêves et que tu n'es pas encore proche du tien?
Tant de pensées traversent votre esprit, non?
Tout d'abord, vous pensez que Dieu n'a pas été juste envers vous.

Qu'en est-il de ceux qui vous rencontrez dans la rue, vêtus de draps sales et qui luttent toujours pour leur survie?
Avez-vous les mêmes pensées qui traversent votre esprit?
Je suppose que non.

N'oubliez pas aussi que certains sont déjà morts.
En quelque sorte, il est naturel d’avoir ce sentiment de jalousie pour les copains qui ont l’air meilleur, mais c’est vraiment inutile.

Il n'y a pas de place pour les regrets.
Nous sommes tous différents et nos chemins vers la grandeur ne sont pas non plus les mêmes en distance.

Certains sont peut-être arrivés plus tôt que vous et d’autres après vous, mais quel que soit votre niveau de vie, continuez à essayer de dépasser les limites et à aller plus loin.

Célébrez le succès des autres, c’est une indication que le vôtre aussi viendra sûrement.

Votre ami achète une voiture maintenant, soyez heureux avec lui / elle.
Rappelez-vous quand vous acheterez le vôtre,
leur ne serait peut-être plus à la page.
Il n'y a pas de champion permanent, mais le champion actuel.

La vie n’est pas une affaire de concurrence, ne soyez pas dans une course avec qui que ce soit.
Rappelez-vous, nous pouvons sembler lire le même livre mais plusieurs chapitres à des moments différents.

Ne laissez pas la passion en vous tuer le désir en vous, continuez à le brûler.

Ce que vous traversez aujourd'hui, écrivez-le, parce qu'un jour, le monde serait prêt à le lire, ils feront partie de votre succes story.

Il n'y a pas de hauteur que vous ne pouvez pas atteindre, croyez en vous-même, définissez vos objectifs, reconnaissez les distractions et n'arrêtez pas d'effort.

Consacrez du temps à l’enseignement par vous-même, car ce qui a surtout amené les gens au sommet de la hiérarchie sont ceux qu’ils ont consacrés leur temps à développer.

Ne soyez pas intimidé par le succès de votre ami, le ciel est suffisamment large pour que les oiseaux puissent voler sans se toucher.

Appréciez chaque petite chose que Dieu apporte dans notre vie, aimez Dieu et obéissez-lui. Car avec Dieu tout est possible.

Maintenant à ceux qui sont au sommet, n'oubliez jamais de donner un coup de main à ceux qui végètent. Parce que la vie est pleine d'incertitudes; celui que vous ignorez aujourd'hui, peut être c'est lui qui vous tiendra par la main et vous empêchera de tomber demain.

En définitive, c'est juste un conseil, une matière à réflexion pour tous les camarades d'école et de classe. Partagez ceci avec tous vos camarades et laissez-les se rendre compte que Dieu a un but dans nos vies. Soyez toujours humble et remerciez Dieu pour sa grâce dans nos vies.
Que Dieu nous bénisse tous. Amen.»

Texte original en anglais, partagé par Christin
e Amegavi. Traduit par nos soins.

samedi 29 juin 2019

SUCER LE SEXE ET COUCHER A L'ANUS: DEUX PRATIQUES

Suite à la confusion et à l'ignorance de plusieurs, je viens ici donner les grandes raisons qui interdisent aux chrétiens ( célibataires et mariés) de ne pas sucer le sexe, ni de coucher à l'anus.
Je serais franc, sans hypocrisie et un peu long, ça vaut peine.
Notre articles comprend 3 points, à savoir:
- Les évidences "positives" de ces pratiques.
- Les 5 raisons qui nous interdisent ces pratiques
- Que faire enfin ?

I. *LES ÉVIDENCES "POSITIVES" DE CES PRATIQUES* .

Plusieurs études scientifiques prouvent que sucer le sexe( vagin ou pénis) procure un plaisir extrême et accélère plus rapidement l'orgasme.
Plusieurs femmes attestent qu'elles obtiennent facilement et rapidement l'orgasme que si l'on suce leur clitoris et lèvres plutôt que si l'on introduit le pénis dans leurs vagins. Il en est de même des hommes qui sont plus excités par le fait de sucer, lécher leurs pénis.
En réalisant une enquête, vous serrez étonné de constater que beaucoup des chrétiens font ces pratiques. Plusieurs d'entr'eux pensent aussi que si cela peut être mauvais pour les célibataires, mais pour les mariés cela ne serait pas du tout mauvais.
Malgré le plaisir, il y a bien de raisons qui interdisent aux chrétiens de ne pas faire ces pratiques.

II. *LES 5 RAISONS QUI NOUS INTERDISENT CES PRATIQUES*

II.1. *LES RAISONS HISTORIQUE ET D'ORIGINE.*

Si le sexe a été créé par Dieu, ces pratiques sont des abominations et perversions sexuelles d'origine païenne et satanique.
En effet, parlons de leur origine:

A) *LA FELLATION* ( Sucer le pénis):

appelée aussi faire la pipe, micro, était pratiqué pour la première fois en Égypte antique, lorsque Isis (déesse de la mort) voulait ressusciter son mari Osiris (dieu de la fertilité). Elle avait ainsi, sucé un simulacre du pénis de son mari Osiris.
En Grèce antique,Rome antique, et chez les Amérindiens, la fellation était interdite, sauf si tu la fait avec une prostituée.
C'est Cléopâtre qui avait rendu populaire cette pratique.

B) *LE CUNNILUNGUS* ( Sucer le vagin de la femme):

depuis l'origine de la sexologie jusqu'en 1960, sucer le vagin était considéré comme une perversion sexuelle. Mais cette pratique était populaire uniquement dans la religion chinoise du taoïsme, utilisée lors des cérémonies mystiques.

C) *LA SODOMIE ( Coucher à l'anus):*

elle tire sa source de la ville de Sodome détruite par Dieu à cause de leurs perversions sexuelles, notamment la sodomie ( Genèse 13:13, 18:20-21).
Notez que toutes ces pratiques qui à l'origine étaient réservées aux prostituées et autres raisons mystiques, sont devenues populaires à partir de 1960 suite à la révolution sexuelle et surtout aux lancements des films pornographiques
.
Bref, comme on venait de le voir, ces pratiques tirent leur origine de divinités païennes et sataniques, puis elles seront réservées aux prostitués.
Voilà déjà une raison valable pour un chrétien de les éviter.

II.2) *LES RAISONS MORALES ET PSYCHOLOGIQUES* .

Tout celui qui est passé par le banc de l'école conviendra avec moi que même le prof du civisme ou d'éducation à la vie nommait ces pratiques des perversions sexuelles.
En effet, ce sont des déviations, perversions sexuelles et immorales qui traduisent un déséquilibre psycho-sexuel dans la tête des gens qui les pratiques.
Ceux-ci, sont faiblement, voire nullement satisfaits par la voie sexuelle normale ( vagin face au pénis). C'est comme si quelqu'un laisserait la bouche pour commencer à manger par l'oreille, c'est carrément un malade, un déséquilibré.
Toute personne éprise du bon sens moral doit être normalement gênée devant ces pratiques.
Ainsi, dans certains États des États-Unis d'Amérique par exemple, ces pratiques sont punissables par la loi du faite de leur caractère immoral.
Souvenez-vous du tollé mondial qu'avait suscité l'affaire de l'ancien Président américain, Bill Clinton qui lorsqu'il était accusé de la commission de ces actes immoraux.
Bref, ici encore,on le voit, ces pratiques n'ont droit de cité que dans la vie de personnes immorales et déséquilibrées.

II.3) *LES RAISONS SCIENTIFICO-MÉDICALES*

Plusieurs études scientifiques ont prouvé que ces pratiques sont responsables de la transmission rapide des graves Infections Sexuellement Transmissible (IST) telles, Herpès, Condylome, cancer de la bouche, cancer de la gorge, cancer du col de l'utérus, Hépatite B ou C, Syphilis, VIH/ SIDA, Hémorroïdes, déchirures anales, etc.
Une autre raison valable d'eviter ces pratiques à haut risque sanitaire.

II.4) *LES RAISONS SPIRITUELLES*

Il convient de reconnaitre que ces genre des pratiques sont des abominables devant Dieu, car elles constituent:
- de l'impureté, souillures et mauvais désirs sexuels qui avilissent le temple de Dieu qui est notre corps ( Colossiens 3:5).
- de l'idolâtrie et une prison sexuelle qui rendent esclaves ceux qui les font ( Romains 6:19, 2 Pierre 2:19). Ainsi, vous verrez ceux qui les font sont très incrédules et endurcis car ils aiment le plaisir pervers plus que Dieu (Matthieu 13:15, 2 Timothée 3:4).
Ceux-ci aiment dire il n'y a aucun verset biblique qui interdit ces pratiques. Ils ajoutent que c'est pas à l'Eglise de montrer aux gens comment coucher, car chacun est libre.
Ils sont vraiment aveuglés par le péché ( Tite 3:9).
- ce sont des abominations qui provoquent la colleur de Dieu et la mort ( physique, spirituelle, financière, matérielle), bloquent la vie de ceux qui les font.
NB: un ancien président de la France était mort en pleine action de la fellation.
Les passages de Romains 1:26, 27, 31, 32 parlent implicitement de ce genre d'usage contre nature, tels que sucer le sexe et explicitement de la sodomie ou homosexualité.
- des portes du phénomène mari et femme de nuit.
- des prisons qui ouvrent la porte à d'autres prisons sexuelles. Ceux qui font ces pratiques tombent aussi facilement dans la masturbation et l'obsession de la pornographie.
- des choses honteuses et abominables ( 2 Corinthiens 4:2, Ephésiens 5:12).
NB: l'amour éhonté de ces pratiques abominables sont des signes du temps de la fin( 2 Timothée 3:1, 3, 4).

II.5) *RAISONS D'EXPÉRIENCE PERSONNELLE.*
Dans l'exercice de notre ministère de délivrance, nous constatons chaque jour comment la vie de plusieurs chrétiens ( célibataires et mariés) est bloquée à cause de ces pratiques.
Nous avions aussi constaté que les occultistes aiment trop imposer ces pratiques à leurs partenaires dans le but de voler leur étoile.
Enfin, la pratique de ces abomination amènent toujours la présence des démons dans la vie des gens.

III.
Pour toi chrétien:
- même si tout le monde les fait, toi évite cela,car tout est permis, mais tout n'édifie pas ( 1 Corinthiens 6:12, 10:23).
- ne sois pas esclave de mauvais désirs, traite durement ton corps ( Romains 6:6, 1 Corinthiens 9:27)
- être marié, ne te donne pas le droit de souiller le lit conjugal avec de telles abominations ( Hébreux 13:4).
- pour toi qui a déjà fait ces pratiques, prend la décision de confesser et d'abandonner ce péché. Si seul tu ne parviens pas , cherche un homme de Dieu pour ta délivrance.
Si tu ne pas toujours convaincu du caractère abominable de ces pratiques, nous voulons vous demander de lire Apocalypse 22: 11-12).

mercredi 26 juin 2019

*Liste des Concours déjà lancés 2019*

Cliquez sur les liens pour voir les détails et comment postuler

1- Concours ENSTP (1 ère année cycle architecte) 2019
https://bit.ly/2x90f2J

2- Concours ENSTP 1 ère année cycle d’ingénieur (MEng) 2019
https://bit.ly/2J3MasU

3- Concours de l'Institut des Beaux-Arts de l’Université de Douala à Nkongsamba 2019
https://bit.ly/2WXT6N4

4- Concours des IDE (recrutement de 7550 Personnels de la santé) MINSANTE 2019
https://bit.ly/2WNv1c2

5-Concours d’entrée a l’Institut des Technologies de la Marine Marchande et Industrie Portuaire (IT2MIP)
https://bit.ly/2WyOocw

6-Concours d’entrée à l’Ecole Nationale Supérieure des Travaux Publics annexe de Buea
https://bit.ly/2FqECiR

7- Concours d'entrée en 1ere annee filiere sciences biomedicales FMSP de l'Université de Dschang 2019
https://bit.ly/2KpnjmA

8- Concours d'entrée a l'Institut Universitaire de Technologie de l'Université de Ngaoundéré 2019
https://bit.ly/2x3RLd8
9- Concours d’entrée en Master Pro CRESA (4e annee) de l’Université de Dschang 2019
https://bit.ly/2WQmkh8

10- Concours d'entrée en première année Ecole des Sciences et de Médecine Vétérinaire (ESMV) de l’Université de Ngaoundéré 2019
https://bit.ly/2Y49fSE

11- Concours ESSTIC 2019
https://bit.ly/2WBpcxW

12- Concours d’entrée à l’Institut des Sciences Halieutiques (ISH) Université de Douala à Yabassi 2019/2020
https://bit.ly/2KoAPGV

13-Concours d’entrée à l’IRIC 2019 / 2020
https://bit.ly/2wCdJDK

14-Concours d’entrée au CNFZV (Cycle I) 2019
https://bit.ly/2I9EINM

15-Concours d’entrée au CNFZV (Cycle III) 2019
https://bit.ly/2F7AXXb

16-Competitive entrance examination of HITL Bamenda 2019
https://bit.ly/2XE08rK

17-Concours Filières Biomédicales et Médico sanitaires_FS_UN 2019
https://bit.ly/2ICNiDM

18-Competitive Entrance Examination into the Faculty of Agriculture and Veterinary Medicine UB 2019
https://bit.ly/2MMz0Wp

19-Concours d'entrée dans les écoles de formation du ministère de l'agriculture et du développement rural (MINADER)
https://bit.ly/2WhdlVO

20-Concours direct pour le recrutement de 300 Greffiers Adjoints 2019/2020
https://bit.ly/2Z1Qr6M

21-Avis à Candidature pour le recrutement de 200 Secrétaires au Ministère de la Justice
https://bit.ly/2Kgbkqq

22-Examen National d'Aptitude Formation Médicale 2019
https://bit.ly/31chmi5

23-Concours FMSB (Cycle de Spécialisation en Médecine) 2019
https://bit.ly/2ZaGq7d

24-Examen National Internat 2019
https://bit.ly/2I1OuBk

25-Concours Examen National en Médecine Cameroun 2019-2020
https://bit.ly/2Zc7J0Y

26-Concours FASA Dschang - Ebolowa - Bafia Niveau I 2019/2020
https://bit.ly/2R2CwKB

27-Concours FASA Dschang - Ebololowa - Bafia Niveau 2 2019/2020
https://bit.ly/2KyzVHk

28-Concours FASA Dschang - Ebolowa - Bafia Niveau 4 2019/2020
https://bit.ly/2WuZ6wx

29-Concours d’entrée à l’IUT de Douala 2019
https://bit.ly/2HSDQx1

30-Concours IUT- FV de l'Université de Dschang
https://bit.ly/2wGDKBV

31-Concours ENEF 2019
https://bit.ly/2QGjA48

32-Concours d'entrée a l’école de l’hôtellerie et du Tourisme de la CEMAC session de juillet 2019
https://bit.ly/2Pi2gSy

33-Concours d’entrée a L'IFCPA-CRTV
https://bit.ly/2GWF20m

34-Concours d’entrée en 1ère année du cycle d’Ingénieurs de Conception de la FMIP de l’Université de Maroua 2019/2020
https://bit.ly/2Kt5Uu7

35-Concours d’entrée en 3ème année du cycle d’Ingénieurs de Conception de la FMIP de l’Université de Maroua 2019/2020
https://bit.ly/2D4P0LZ

36-Concours ASTI (Master of Arts in Interpretation (Division II)) 2019/2020
https://bit.ly/2P3LHto

37-Concours ASTI (Master of Arts in Interpretation (Division I)) 2019/2020
https://bit.ly/2Iq3eL7

38-Concours ENAM 2019
https://bit.ly/2vyYRFZ

39-AVIS DE CONCOURS (MINFI)
https://bit.ly/2EsOSqF

40-Concours polytechnique (ENSP) 2019
https://bit.ly/2DUmrBx

41-Concours FGI 2019 Première Année
https://bit.ly/2wuLeIp

42-Concours FGI 2019 Troisieme Année
https://bit.ly/2WchA5a

43-Concours de l'Institut des Beaux-Arts de Foumban (IBAF) 2019
https://bit.ly/2EJRL6v

44-MINEFOP - Calendrier des examens nationaux 2019
https://bit.ly/2Z4Sbfc

45-Concours EAMAU 2019
https://bit.ly/316ckDK

46-Concours IAI 2019
https://bit.ly/2JSruXV

47-Concours IFORD 2019
https://bit.ly/2WVIIWL 

48-Concours de formation des marins, des déclarants en Douane et des Agents de Transit
https://bit.ly/2IdBBTU

49-MINDEF - Test Préselection pour l'admission à l'ESSAL TOGO
https://bit.ly/2HVwiJX

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jeudi 20 juin 2019

POURQUOI LES PÈRES SONT-ILS NÉGLIGÉS À L'ÂGE DE LA VIEILLESSE: LA DURE VÉRITÉ


Vijay B Mansukhani http://satiitv.com

Au cours de la vie familiale, il existe 3 niveaux de commandements.

- Le 1er concerne les 25 premières années de la vie de famille. (Père, Mère et Enfants) où le pouvoir appartient indiscutablement au Père.

- Le deuxième débute dès que les enfants ont grandi et ont commencé à travailler. Le pouvoir passe à la mère.

- Le troisième est le moment où les enfants quittent la maison familiale ou fondent leur propre famille. Le pouvoir passe alors aux enfants.

1- Nous commencerons par le 1er pouvoir: Dominance totale du père. Il est le lion de la tribu, de sa maison. Le patron.

2-  Pendant cette période, le père gouverne avec une main de fer. Il donne des ordres et détermine ce qui va se passer ou ne va pas se passer.

3- Le père n'hésite pas à recourir parfois aux châtiments corporels à l'endroit des enfants récalcitrants. Ces derniers commencent à le craindre plus qu'ils ne l'aiment.

4- Le père est le pourvoyeur de la famille et tout le monde en est conscient, avec toutes les conséquences que cela entraîne.

5-  Le 2ème pouvoir s'installe. Les enfants ont terminé leurs études et ont commencé à travailler. Le pouvoir passe à la mère.

6- Lorsque les enfants commencent à gagner leur propre argent, pour une raison quelconque, c'est à leur mère qu'ils décident de s'occuper. Ils sont plus proches d'elle.

7- Pendant que le père était en charge, il était occupé à fournir des services. Il n'avait pas beaucoup de temps pour être un ami des enfants.

8- Les enfants passaient plus de temps avec leur mère et se rapprochaient invariablement d'elle. Ils voyaient également leur mère comme des co-victimes de la tyrannie du père.

9- À ce stade, la mère occupe une place centrale. Elle est la première à savoir ce qui se passe avec les enfants et elle a un avantage sur le père.

10- Si l'une des filles donne naissance, c'est elle qui va au babysitting et les enfants la gâtent avec des cadeaux.

11- À ce stade, le père souhaite renforcer un lien avec les enfants, mais ce n'est plus évident.

12- Parce que la mère ne compte pas beaucoup sur le père pour ses besoins à ce stade, elle est moins susceptible de tolérer sa seigneurie. Friction.

13- Puis le 3ème et dernier pouvoir. Le pouvoir est passé aux enfants. Ils sont autonomes, vivent seuls et ont leurs propres familles.

14- Le plus souvent, chaque fois qu'il y a une querelle entre père et mère, les enfants se rangent du côté de la mère. Conséquence de plusieurs années de vie autoritaire du père.

15- On sait que des enfants viennent parfois à la maison pour avertir ou menacer leur père de ne pas «déranger» leur mère. La prochaine chose, les visites moins fréquentes des enfants dans la maison familiale.

16- Malheur au père si ses finances sont précaires à ce stade. Il sera humilié de force.

17- La plupart des hommes tombent malades et développent différentes pathologies. Au moment où les forces sont déployées contre vous, vous comprendrez mieux.

18- Accident vasculaire cérébral, hypertension artérielle etc. L’homme a une famille nombreuse aujourd'hui, mais n’aura aucune relation avec eux plus tard. Pensée troublante.

19- Moral: chers hommes, tant que le pouvoir vous appartient, laissez-le vous guider pour la postérité. Ce ne sera pas avec vous pour toujours.

20- Avec la façon dont vous traitez votre femme maintenant, comment va-t-elle vous traiter lorsque le pouvoir lui revient?

21- Quelle relation entretenez-vous avec votre famille? Papa aimant ou fournisseur despotique, tyrannique?

22- *N'oubliez pas que les enfants sont toujours du côté de leur mère.* Essayez de faire assez pour au moins avoir une audience équitable lors des futurs conflits familiaux.

23- Investissez judicieusement pour l'avenir afin de ne pas avoir à mendier pour s'occuper de vous si, malgré tous vos efforts, vous vous retrouviez seul.

CONSEILS AUX ENFANTS:
*IL N'EST PAS BON D'ABANDONNER VOTRE PÈRE QUI S'ETAIT CONSACRÉ À VOUS PRÉPARER VOTRE  RÉUSSITE. HONOREZ VOS DEUX PARENTS ET PRENEZ BON SOIN DE LEUR VIEILLESSE.*

C’est ainsi que vous sèmerez aussi dans votre avenir. Parfois, ils ne se rendront pas compte, parce qu'ils se sentent éloignés du vieil âge, mais peu importe combien vous vous sentez jeune aujourd'hui, vous y arriverez sûrement un jour.

*NE LAISSEZ PAS NÉGLIGER VOTRE PÈRE (OU VOS PARENTS). C'EST UNE MALÉDICTION SUR VOTRE AVENIR.*

AVIS AUX MÈRES:  *N'INCITEZ PAS VOS ENFANTS CONTRE LEUR PÈRE.*

La parentalité n'est pas facile malgré ses joies. Il n'y a pas de manuel sur son fonctionnement.

Je vous souhaite à tous une vie très saine, merveilleuse, bénie, pacifique, prospère et heureuse.